Le stress touche plusieurs aspects de notre santé et il peut venir de différentes sources. Ce peut être un stress aigu de courte durée et c’est ce qu’il devrait être; ensuite, une fois la situation changée, on récupère. Plus le stress est prolongé, plus la période de récupération sera longue. Plus le stress est intense, plus la fatigue est importante et le repos s’impose. À notre époque, le stress est omniprésent et souvent en partie inconscient. Effectivement, une partie découle des blessures d’enfance et cela met en place une manière inadéquate, inconfortable de réagir à des situations données : critique, autorité, demande de l’autre ou exigence envers soi-même, etc. De manière générale, ces situations touchent l’estime de soi à un degré plus ou moins conscient ou carrément inconscient.
On parle souvent de « fight or fly », se battre (foncer) ou fuir comme réaction face à un événement stressant Toutefois, ce ne sont pas les deux seules réactions possibles. On oublie souvent : figer.
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Le mois d'août est une occasion renouvelée de réconciliation avec une plante qui fleurit abondamment à cette période: la verge d'or. En effet, pendant longtemps, chaque année, je voyais, avec déception, les champs se couvrir de sa floraison dorée. Cela représentait la fin de l'été qui s'annonçait et c'était toujours trop tôt pour moi. Une nostalgie m'habitait à la vue des champs d'or de cette période. J'avais de la difficulté à développer des affinités avec elle. En plus, je devais en parler lors d’ateliers d’herboristerie que je donnais et c'était toujours avec un certain malaise que je l'abordais.
Je l'ai récoltée et transformée, mais le concentré de verge d'or et ses sommités fleuries séchées demeuraient bien rangées dans mon armoire sans que je les utilise vraiment. Je la conservais sans y avoir recours. On ne parle pas tant de douceur, ce n’est pas un thème à la mode. Pourtant, nous en avons besoin à notre époque où l’on est plutôt bousculé. Alors pourquoi ne pas choisir de se ménager des moments de douceur.
D’abord, qu’est-ce que la douceur? Le dictionnaire Le Robert nous dit ceci :
De plus en plus de gens s’intéressent aux plantes qui poussent sur le terrain et c’est heureux. En effet plusieurs des plantes communes que nous croisons quotidiennement ont des vertus médicinales ou culinaires et bien souvent les deux. Toutefois, il faut se montrer prudent pour bien identifier et ne pas consommer une plante toxique. Explorons ensemble quelques trucs pour valider ses identifications.
Ne pas perdre son latin! Un élément important est de s’initier bien que ce soit sommairement aux noms latins. Du moins les regarder, car cela permet de s’assurer que l’on a la bonne plante. Selon les pays et même les régions, bien que l’on parle la même langue, une plante peut avoir un nom différent. Par exemple, l’achillée millefeuille (Achillea millefolium) est également appelé : millefeuille, herbe aux charpentiers, herbe aux militaires. Un autre exemple, on m’a déjà demandé si j’avais de la sabouillane. C’était quelqu’un qui venait d’une autre région du Québec. Je ne connaissais pas cette plante. J’ai donc effectué quelques recherches et j’ai finalement découvert dans le livre Flore laurentienne de Marie-Victorin que cette personne parlait de la savoyane (Coptis trifolia). Pas besoin de devenir un expert en latin, mais simplement vérifier le nom latin d’une référence à l’autre. Cela étant dit, le nom latin peut avoir changer et il y en a deux en circulation. Cela arrive aussi, mais ce n’est pas la norme. Introduction
Comment intégrer les plantes médicinales et certaines habitudes de vie pour avoir une santé optimale? Il n'y a pas recette unique, mais certains conseils de base peuvent servir à tous avec des spécificités selon chaque individu, ses forces et faiblesses. Santé de la Terre et santé de l’humain La prévention, c'est aussi celle qui concerne l'environnement. On ne peut plus nier l’effet du réchauffement climatique. Doit-on attendre d’être malade pour écouter les signes? Doit-on attendre que la situation soit catastrophique pour changer nos comportements nocifs pour la planète, qui est notre maison? Ce qui se passe avec l'environnement est ce qui se passe très souvent avec notre propre corps. « Les hommes se sont transformés en l'espèce la plus destructrice du monde et ont oublié la totale interdépendance de tous les êtres vivants. » - Hubert Reeves La fin de l’hiver et le début du printemps offrent une période de transition où l’organisme a besoin de soutien pour s’adapter au changement de saison. Il arrive que l’on bouge moins, car les sports d’hiver sont terminés et les sports de la belle saison ne sont pas commencés. Les repas plus lourds de l’hiver peuvent avoir sollicité le foie. Le manque de mouvement ralentit la circulation de la lymphe qui permet la détoxification des tissus. Le manque de lumière de l’hiver peut avoir affecter l’humeur.
Je constate qu’en général, les gens ne connaissent pas bien la distinction entre ces différents titres, alors voici quelques explications selon mon expérience. Il faut noter que ces explications s’appliquent à la réalité du Canada. En France la définition de l’herboristerie est quelque peu différente.
Phytothérapeute et phytothérapie Phytothérapie définit par Le Robert : traitement des maladies par les plantes ou leurs extraits. Phytothérapie définit par Larousse : traitement ou prévention des maladies par l’usages des plantes. Un phytothérapeute connaît les vertus des plantes et peut les recommander en magasin ou dans son bureau. Il peut avoir un dispensaire et fournir les produits directement au client ou le diriger vers une boutique qui les vend. Naturopathe et naturopathie Naturopathie définie par l’Association des naturopathes agréés du Québec (ANAQ) : la naturopathie est une philosophie de vie et une approche thérapeutique. Elle considère l’individu sous toutes ses facettes, ce qui lui permet d’offrir un accompagnement adapté ciblant les causes profondes des déséquilibres. Elle se base d’abord sur les grands principes d’Hippocrate : Primum non nocere – D’abord ne pas nuire Vis medicatrix Naturae – La nature est guérisseuse Tolle causam – Identifier et traiter les causes Tolle totem –Soigner la personne dans sa globalité Docere – Enseigner Praeventum – Prévenir Plusieurs plantes sont symboliques et très présentes pendant la période des Fêtes. La première qui vient en tête est bien sûr le sapin. Allons voir un peu l’histoire qui en a fait un emblème de Noël et les vertus médicinales qu’il nous offre.
Un peu d’histoire On retrouve partout la mention que le solstice d’hiver était considéré comme le jour de la renaissance du soleil chez les Celtes. Chaque mois lunaire était associé à un arbre et c’est l’épicéa (épinette) qui était l’arbre de ce moment de l’année. C’est un proche parent du sapin. Il symbolise l’espoir, l’invincibilité, capable de tenir face à l’hiver. Il représente également l’enfantement, la victoire de la lumière sur les ténèbres, de la vie sur la mort. Dans les rites païens qui soulignaient le solstice d’hiver, un arbre, symbole de vie, était décoré avec des fruits, des fleurs et du blé. En 354, l’église chrétienne choisit le 25 décembre pour célébrer la naissance de Jésus pour rivaliser avec cette fête païenne. Comme ce fut souvent le cas, les rites païens se sont incorporés aux fêtes religieuses qui tentaient de les supplanter. On raconte également que St-Boniface, un moine évangélisateur allemand, à la fin VIIe siècle, voulait convaincre les druides germains de la région de Geismar que le chêne n’était pas un arbre sacré en faisant abattre un grand chêne; en tombant, il aurait tout écrasé sur son passage, sauf un sapin. Le concentré liquide de millepertuis (Hypericum perforatum), c’est du soleil en bouteille. Selon moi, le millepertuis sait capter la lumière du soleil quand il est à son zénith dans le courant de l’été. C’est comme s’il s’approprie cette lumière et l’emmagasine dans ses cellules et il nous la rend quand les journées raccourcissent à l’automne. C’est l’anti déprime par excellence. Son effet commence à se faire sentir assez rapidement et se confirme dans la durée. Il peut être prise pendant plusieurs mois sans effet néfaste.
C’est une plante très étudiée pour ses propriétés antidépressives et anxiolytiques. Elle est très intéressante pour les dépressions saisonnières, les dépressions liées au foie et à la digestion, car elle active une enzyme responsable de métaboliser (transformer) certaines substances dont plusieurs médicaments pour qu’ils soient éliminés. D’ailleurs, elle a des interactions avec une grande proportions de médicaments. Il vaut donc mieux s’abstenir de la prendre, si on prend de la médication, car elle peut diminuer la concentration sanguine du médicament et du coup son effet. Après l’été, des vacances ou un congé, il faut reprendre nos activités et parfois, l’élan manque. Voici un texte où je partage ma vision et mes trucs pour conserver mon implication vers un objectif.
S'engager demande de la discipline pour avancer et persévérer vers notre but et dans notre engagement. Discipline est un mot qui fait peur à certains. Il faut certes de la rigueur, mais pas de la rigidité pour développer la discipline. On peut l'approcher et la développer avec souplesse et plaisir, se mettre des objectifs réalistes et reconnaître les progrès. Ensuite, on peut mettre la barre un peu plus haute si besoin est, et cela graduellement à la mesure de nos capacités. On chemine ainsi vers la réussite. En écrivant cet article, je pense à différents types d'engagement que l'on peut prendre, mais aussi tout spécialement aux étudiants qui progressent à leur rythme dans un contexte d’école où chacun fait son horaire et qu’il n’y pas d’échéance. Cela a ses avantages, mais demande un engagement, sinon tout peut passer avant. Cela s’applique également à bien des projets que l’on peut avoir. Je vous invite à un voyage à travers les étapes de vie de la femme en y jetant un regard qui rend sacré chacune de ces étapes. Je donnerai aussi des conseils pratiques pour mieux vivre ces passages sans aller dans le détail, car le but premier de ce texte est de voir sous un angle sacré. Toutefois, certaines plantes ou habitudes de vie peuvent grandement contribuer à mieux vivre ces étapes.
Le sacré, qu'est-ce que cela veut dire? On peut avoir chacun son interprétation. Sur le site L'internaute, dans la première définition, on dit que c'est ce qui est saint, religieux; dans une autre définition, on parle de vénérable, de respectable. En jumelant ces deux sens et ce que je ressens; je dirais que c'est quelque chose de précieux, en fait que l'on rend précieux, respectable et vénérable par notre regard, notre vision et nos actions. Au bout du compte, cela dépend beaucoup de nous et du regard que l'on porte sur ce qui nous entoure. IntroductionAh! Le temps des fraises! Depuis plusieurs années maintenant, ce temps s’étire tout l’été, car on a développé des variétés qui produisent jusqu'à l'automne. On peut donc profiter de ces délicieux fruits pendant plus longtemps. Alors que l'on est à une époque de mondialisation, on valorise souvent des fruits exotiques venus d'ailleurs et réputés pour leurs vertus, mais notre terroir offre aussi sa part de trésors et la fraise en fait partie.
La fraise est à la fois originaire d'Europe, d'Asie et d'Amérique. Ceci est peu courant en botanique. Cela indiquerait-il que tous les peuples de l'hémisphère nord en ont besoin ? Son abondance et sa disponibilité en saison nous parlent-elles des avantages et des bienfaits de sa consommation ? Je terminerai bientôt une formation d'instructeur de méditation. Bien que je médite depuis plusieurs années avec certains moments de pause, cette formation me permet de mieux comprendre ce qu'est et ce que n'est pas la méditation, ses bienfaits et ses avantages.
Ce que n’est pas la méditation Commençons par parler de ce que n’est pas la méditation pour mieux la cerner. Arrêter de penser : la fonction du mental, c’est de penser, toutefois, il nous mène parfois parle bout du nez si on se laisse influencer par des pensées et comportements acquis qui ne sont pas forcément bénéfiques. Lors de la méditation, des pensées viennent et c’est normal, il suffit de se ramener à la présence ou à la méditation guidée quand on s’en rend compte. Prendre conscience de ses pensées et choisir consciemment où on veut mettre notre attention est déjà un exercice bénéfique en soi. On se ramène autant de fois que nécessaire sans jugement. Certains jours on y arrive mieux et d’autres, c’est plus difficile. Rester immobile : il est possible de méditer dans l’action. Une marche faite en portant son attention sur ce que l’on croise sans s’y attarder est une façon de pratiquer la maîtrise de ses pensées. En fait, on devrait viser être présent dans tout ce que l’on fait, c’est aussi cela l’état méditatif. Ceci dit, on peut ajuster notre posture au besoin, méditer assis ou couché (quoique le risque de s’endormir est plus grand pour ceux qui y sont sensibles). Les plantes accompagnent l’humain depuis la nuit des temps. Elles le nourrissent, l’habillent (par leurs fibres textiles), le protègent par les habitations que l’on peut bâtir, grâce au bois, la paille, etc. et elles le soignent grâce aux composés chimiques qu’elles contiennent. Pour se protéger des prédateurs ou des conditions climatiques, les plantes développent des métabolites secondaires, c’est-à-dire des substances autres que les glucides, protides et lipides. Ces substances sont particulièrement intéressantes pour les propriétés médicinales. D’ailleurs les plantes possèdent une chimie complexe que les scientifiques étudient de plus en plus, mais pour le moment, ce n'est que partiellement que l'on comprend la synergie qu'elles abritent en elles. Bien souvent la science confirme ce que le savoir empirique connaît depuis fort longtemps. Les recherches scientifiques permettent de préciser que telle molécule a telle action et d’avancer pas à pas dans notre connaissance de ces précieuses alliées que sont les plantes. Au sens strict, la phytothérapie c’est le traitement ou la prévention des maladies par l’usage des plantes. Toutefois, dans la vision des herboristes et naturopathes qui pratiquent la phytothérapie, c’est bien plus souvent une approche qui soutient le corps pour qu’il retrouve son propre équilibre : l’homéostasie.
![]() Quand vous entendez le mot « ménopause », qu’est-ce qui vous vient en tête? Une femme en sueur ou qui n’a plus toute sa tête? La vieillesse qui s’impose avec ses cheveux gris, la peau plus fine, les douleurs articulaires? La ménopause, on en parle de plus en plus, mais pas forcément en termes encourageants. Il faut se rappeler que c’est un passage, un sevrage d’hormones, c’est l’étape inverse de la puberté. Une période d’ajustement. On nous dira que l’on vit plus vieille aujourd’hui et c’est pourquoi, on voit plus de malaises de ménopause. Toutefois, les femmes ne mourraient pas toutes avant 50 ans il y a quelques décennies et plusieurs vivaient la ménopause et la suite sans trop de difficulté. De nos jours, les déséquilibres hormonaux sont fréquents et cela s’explique notamment par les xénœstrogènes: ces substances similaires à nos œstrogènes naturelles qui se lient à nos récepteurs œstrogéniques sur nos cellules et activent des réactions qui peuvent être de 10 à 100 fois plus puissantes que nos hormones endogènes. Il y a plusieurs composés chimiques qui se sont ajoutés à notre quotidien dans les dernières décennies; agents de conservation, colorants, plastiques, hormones de synthèse, les pesticides, etc.
Ces substances viennent perturber l’équilibre hormonal naturel et les effets peuvent être sérieux. Cela commence avec une puberté précoce. Sarah Maria Leblanc, herboriste thérapeute, raconte dans la revue Plantes médicinales qu’elle avait reçu une maman avec sa fille de huit ans qui présentaient déjà des signes de puberté: poils aux aisselles, seins qui se développent, irritable, humeur dépressive. Le médecin avait dit qu’il n’y avait rien à faire et que c’était une puberté précoce. La mère voulant trouver une solution avait demandé conseil à Sarah Maria. Le premier conseil qu’elle avait donné était d’éliminer toutes les sources de xénœstrogènes:
Nous sommes à une époque où les coachs sont nombreux venant de plusieurs de type de formations. Pourquoi y a-t-il autant de coachs? Est-ce que les humains sont à une étape d’évolution où de prendre le temps de s’interroger sur sa vie prend toute une importance?
Poser la question, c’est y répondre. Ce que je constate dans ma pratique, c’est que cela fait du bien de s’arrêter, de se poser les bonnes questions et mettre en lumière certaines parties de soi. Il y a des parties de nous qui sont plus ou moins conscientes qui tirent les ficelles et nous amènent des pensées, des émotions qui découlent en décisions et en comportements. Il arrive que l’on veuille se défaire d’un comportement donné, mais que par la seule force de la volonté, on n’y arrive pas pleinement. Depuis un moment déjà, on entend parler du stress et de ses conséquences. On voit souvent l’expression « fight or fly », c’est-à-dire se battre ou bien fuir. Toutefois, on oublie souvent une troisième réaction possible au stress et c’est celle de figer. J’avais envie de l’aborder, car elle est fréquente chez les femmes. De plus, c’est celle qui laisse des séquelles très souvent.
Introduction
À l’automne 2019, j’ai donné une conférence à la bibliothèque de St-Sauveur sur l’immunité. L’organisatrice et moi avons été étonnées du nombre de participants pour une conférence qui se donnait un lundi après-midi. Toutes les places étaient réservées. Avec le recul, je me dis que nous avons tous été bien inspirés de parler d’immunité et d’apprendre à mieux la soutenir avec la pandémie actuelle. Voici donc un résumé de cette conférence pour donner des pistes simples sur la manière de soutenir son immunité en tout temps, car une immunité forte permet de passer à travers les épidémies et les pandémies avec plus d’assurance, tout en demeurant prudent. Je ne parlerai pas des moyens concrets de se protéger des microbes, car ce sujet est amplement couvert par les autorités, mais plutôt comment on peut prendre soin de son corps, son royaume. En fait, on pourrait voir notre organisme comme un royaume sur lequel on veille. Nos soldats, se sont nos cellules immunitaires, nos globules blancs. Une armée en santé, qui est écoutée, bien nourrie, valorisée et encouragée sera plus à même de faire son travail. Alors voyons comment nous pouvons, en tant que reine ou roi de notre royaume, prendre soin de nos sujets (nos cellules et nos organes) et de notre armée (nos globules blancs). On ne réalise pas toujours pleinement l’importance de formuler clairement ce que l’on veut afin d’atteindre nos objectifs. Toutefois, quand l’intention est claire et que l’on connaît les étapes nécessaires pour y arriver, on met toutes les chances de notre côté pour l’atteindre. Il est important de nourrir son rêve et d’y consacrer du temps.
Avoir un but dans différentes facettes de notre vie donne une direction, trace une route et aide à garder le cap. C’est comme un phare dont la lumière brille toujours malgré les moments de tempête dans la vie, malgré les moments où on n’est plus certain de rien. Un phare qui nous rappelle la direction que l’on veut prendre, le but, le rêve qui nous est cher. |
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Auteure
Ce sont mes réflexions et mon expérience de vie de femme, mère, herboriste et coach que je partage dans ces textes. |
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